Les miracles de Jésus étaient-ils réels ?
Voyons ce qu'en dit l'intéressé, Jeshua, dans ses canalisations reçues par Pamela Kribbe (La voie de l’artisan de lumière - http://www.jeshua.net/fr/):
"Ce que j’ai fait lorsque j’ai accompli les soi-disant guérisons miraculeuses dans ma vie sur Terre, en tant que Jésus, c’est que je suis entré en contact avec l’essence divine de ces personnes. En voyant et en ressentant l’étincelle divine de quelqu’un, elle s’éveillait et c’est leur essence divine qui accomplissait la guérison, pas moi.
C’est ce rappel de soi qui
restaurait leur santé mentale, voire physique. Une telle rencontre n’a
pas toujours pour résultat une guérison, car cela dépendra toujours de
la décision de l’autre personne de s’ouvrir à la guérison. Le miracle dépend d’eux, et il est important de s’en souvenir chaque fois que vous oeuvrez avec des gens pour une guérison spirituelle. Toute guérison spirituelle vient de l’intérieur. "
Tome 1 de conversations avec Dieu de Neal Donald Walsch:
Jésus ne guérissait pas ceux qu'Il guérissait parce qu'Il considérait leur condition comme imparfaite. II guérissait ceux qu'Il guérissait parce qu'Il voyait que la demande de guérison de ces âmes faisait partie de leur processus. Il voyait la perfection de ce processus. Il reconnaissait et comprenait l'intention de cette âme. Si Jésus avait cru que toute maladie, mentale ou physique, représentait une imperfection, n'aurait-II pas tout simplement guéri tout le monde en même temps sur la planète ? Doutes-tu de Sa capacité?
[...]
Entre en communion avec les autres âmes, et leur but, leur intention t'apparaîtra clairement. C'est ce qu'a fait Jésus avec ceux qu'Il a guéris et avec tous ceux dont II a touché la vie. Jésus guérissait tous ceux qui venaient Le trouver, ou qui Lui envoyaient d'autres gens Le supplier en leur nom. Il n'accomplissait aucune guérison au hasard. S'Il l'avait fait, Il aurait violé une Loi sacrée de l'univers:
Laisser chaque âme suivre sa voie.
[...]
La meilleure de ces affirmations est un énoncé de gratitude et d'appréciation. «Merci, Dieu, de m'apporter le succès dans ma vie.»
Alors, cette idée-là, pensée, dite et mise en action, produit des
résultats magnifiques lorsqu'elle provient de la connaissance véritable
: non pas d'une tentative de produire des résultats, mais d'une
conscience que les résultats se sont déjà produits. Jésus avait cette clarté. Avant
chaque miracle, Il Me remerciait à l'avance de sa délivrance. Il ne Lui
arrivait jamais de ne pas être reconnaissant, car II ne pensait jamais
que ce qu'Il déclarait ne se produirait
pas.
Cette pensée ne Lui venait jamais à l'esprit. Il était si certain de
Qui II Était et de Sa relation avec Moi, que chacune de Ses pensées,
paroles et actions reflétait sa conscience – tout comme tes pensées,
paroles et actions reflètent la tienne...
Tome 3
Jésus, par contre, démontrait la Divinité en démontrant l'Unité, et en voyant l'Unité et l'Entièreté partout où (et avec qui que ce soit) il regardait. En cela, sa conscience et Ma conscience ne faisaient qu'Une et, dans cet état, tout ce qu'il invoquait devenait manifeste dans sa Divine Réalité en cet InstantSacré.
[...]
Le grand cadeau de Jésus était qu'il voyait chacun comme celui qu'il était vraiment. II refusait d'accepter les apparences; il refusait de croire ce que d'autres croyaient d'eux-mêmes. Il avait toujours une pensée plus élevée, et il y invitait toujours les autres.
Mais
il respectait également l'espace où les autres choisissaient d'Être. II
ne les obligeait pas à accepter son idée supérieure, il la tendait tout
simplement comme une invitation.
Il
avait affaire, aussi, à la compassion, et si d'autres choisissaient de
se voir eux-mêmes comme des Êtres ayant besoin d'assistance, il ne les
rejetait pas à cause de leur mauvaise évaluation, mais leur permettait
d'aimer leur Réalité, et les aidait avec amour à courir leur
chance. Car Jésus savait que, pour certains, la voie la plus rapide vers Qui Ils Sont était la voie qui passait par Qui Ils Ne Sont Pas.
II ne qualifiait pas cette voie d'imparfaite et ainsi ne la condamnait
pas. Il voyait plutôt cela, aussi, comme étant «parfait», et ainsi, encourageait chacun à être exactement qui il voulait être.
Par conséquent, tous ceux qui demandaient de l'aide à Jésus en recevaient. II
ne refusait personne, mais il prenait toujours soin de voir à ce que
l'aide qu'il donnait soutenait le plein et honnête désir d'une
personne. Si une personne recherchait
l'illumination de façon authentique, exprimant honnêtement son
ouverture à passer au niveau suivant, Jésus lui donnait la force, le
courage, la sagesse de le faire. II se donnait, à juste titre,
en exemple et encourageait les gens, en premier lieu, à avoir foi en
lui. Il disait qu'il ne les égarerait pas. Beaucoup mirent leur foi en
lui, et à ce jour, il aide ceux qui invoquent son nom. Car son âme
s'est engagée à réveiller ceux qui cherchent à Être pleinement éveillés
et pleinement vivants en Moi. Mais le Christ avait pitié de ceux qui ne
le faisaient pas. Par conséquent, il rejetait toute attitude hautaine et, comme son Père au ciel, ne porta jamais aucun jugement.
L'idée que Jésus se faisait de l'Amour Parfait était d'accorder
exactement à toutes les personnes toute l'aide qu'elles demandaient,
après leur avoir dit le genre d'aide qu'elles pouvaient obtenir. II ne refusait jamais d'aider qui que ce soit, et surtout pas en pensant «comme on fait son lit, on se couche».
Jésus
savait que s'il accordait aux hommes l'aide qu'ils demandaient, plutôt
que seulement celle que lui voulait leur offrir, il les habilitait dans
le pouvoir qu'ils étaient disposés à recevoir. C'est ainsi que font
tous les grands maîtres. Ceux qui ont parcouru votre planète dans le
passé, et ceux qui la parcourent maintenant.